LE MECHANT, TRES MECHANT ROI ET LA TOUR D’IVOIRE EN PLASTIQUE

Elliot, un garçon timide et rêveur, croise la route d’un mystérieux pianiste qui l’entraîne dans une ville futuriste où la musique est interdite par un méchant, très méchant roi.
Avec l’aide d’un groupe d’enfants rebelles vivant dans les égouts, ils déclenchent une rébellion musicale pour rétablir la créativité et la liberté dans une société de consommation asservie par la technologie.
Réussiront-ils à détruire la tour d’ivoire en plastique, d’où le roi tyrannique espionne et contrôle ses citoyens ?

Quelques mots de plus

Le spectacle se déroule en 10 chapitres, chacun porté par une chanson aux styles musicaux variés. Des illustrations légèrement animées prennent vie sur scène, projetées à la fois sur un écran principal et sur des structures en carton blanc grâce au mapping vidéo.

Le héros, un jeune garçon rêveur et un peu en décalage, est plongé dans un monde futuriste qui, malgré tout, semble refléter notre réalité actuelle : un univers
de plus en plus virtuel et déconnecté.
Rejeté par ses camarades au début de l’histoire puis peu à peu accepté et admiré, ce parcours initiatique aborde des thèmes comme la pression sociale, la confiance en soi, et le rôle de l’art dans le dépassement de ses peurs. Le spectacle explore aussi des sujets contemporains tels que la fragilité de la démocratie et l’importance de l’engagement citoyen dans une société marquée par l’individualisme et la consommation.
Au fil de son aventure, il croisera la route de personnages hauts en couleur : un pianiste excentrique au look de savant fou (référence à Doc de Retour vers le futur), des “enfants rebelles” courageux et débrouillards (Peter Pan, Les Goonies), un méchant, très méchant roi et sa tour d’ivoire en plastique (Le roi et l’oiseau, capitaine Crochet).
Ces péripéties le pousseront à s’émanciper et trouver sa voie dont les différentes étapes soulignent des valeurs essentielles comme l’entraide et la solidarité,
donnant à l’histoire une dimension humaine et engagée.